Evaluation

L’augmentation des tarifs des avionneurs va faire très mal au tourisme.
Plus de 80% des lits sont en gîte. Cette clientèle n’aura plus les moyens de venir et les classes plus aisées n’iront pas dans nos gîtes car pas la gamme recherchée.
Mettre en place via la FTPG des subventions pour la montée en gamme des gîtes touristiques

Non !
Trop d’hôtels ont fermés. Ils ont empoché les subventions régionales et européennes sans contreparties dignes de ce nom. 15 ans d’exploitation et revente à la découpe… JACKPOT !!!
Instaurer un minimum de 30 ans et un remboursement de tout ou partie si revente avant le délai.

Miser sur un tourisme durable et vertueux et anticiper le risque d'une surfréquentation.
Le patrimoine local est sous valorisé. Les sentiers de randonnées ne sont pas entretenus et indiqués.
Mettre en place un réseau de transports efficace sur l’île pour
Limiter les voitures et des navettes qui dessert les principaux centres d'attractions de l’île.

Le tourisme doit être désormais pensé de sorte à être durable, plus respectueux de la préservation de l’environnement et des populations, à mettre en avant notamment l’identité culturelle et la richesse de la biodiversité, et à favoriser les relations entre les touristes et les populations locales.
Le tourisme est en effet un secteur hyper concurrentiel à l’échelle internationale, où le modèle consistant à tout miser sur le tourisme balnéaire de masse concentré sur des plages et confiné dans des hôtels est non seulement dépassé car non durable et non représentatif de l'identité propre d'un territoire, mais par ailleurs non viable pour notre archipel dont beaucoup de plages, lourdement impactées par les cyclones et les sargasses, ont perdu de leur superbe. Aussi, les collectivités auraient plutôt intérêt à créer/conserver leur authenticité et valoriser leurs atouts liés à leurs paysages, traditions, patrimoine culturel/agricole/gastronomique etc, pour penser et développer une économie (y compris touristique) qui mette en avant leurs spécificités (cf par exemple le rapport du CESE de 2018 « Promouvoir le tourisme durable dans les Outre-Mer » sur le tourisme durable).

Associer aux décisions les prestataires qui sont en relation quotidienne avec le marché (TO, Sites en ligne, Cie de croisières)

Il manque bien évidemment une structure hôtelière aux normes internationales : Hyatt, Sofitel, .....

Miser sur un tourisme durable et vertueux et anticiper le risque d'une surfréquentation. Le patrimoine local est sous valorisé. Les sentiers de randonnées sont mal entretenus. Anticiper les risques de surfréquentations. Créer des dessertes maritime vers les îles environnantes. Disposer un réseau de navettes qui dessert les principaux centres d'attractions de l’île.

L'offre touristique doit être diversifié et adapté au différents type de visiteurs. L'offre faite au croisiériste ne sera pas la même qui à faire aux personnes qui viennent passer un séjour plus long chez nous.
En tout cas, tous les visiteurs seront heureux d'être bien accueillis et d'avoir la possibilité de découvrir notre gastronomie, notre savoir faire (artisanat et tradition) , notre histoire et notre patrimoine, notre biodiversité, nos plages et nos paysages.

Il faut déterminer un nombre maximum de touristes au delà duquel la qualité de l'accueil ne serait plus assuré.
Il faut des mesures incitatives et une stratégie pour attirer plus de touristes en basse saison.
Il faut donc une répartition plus harmonieuse sur l'ensemble de l'année et sur tout notre archipel.
Il faut pour l'instant améliorer l'offre existante , la faire monter en gamme, et plus l'orienter vers le développement durable et la préservation de notre environnement, s'inspirer des concepts du slow tourisme et de l'ecotourisme.
Il faut favoriser les initiatives locales et les porteurs de projet guadeloupéens. Ce pan de l'économie est en train d'être récupéré par des personnes et des grandes enseignes multinationales qui ne connaissent pas nos réalités et notre culture avec donc le risque de "vendre"
un produit qui serait une pâle copie de notre culture. Il faut établir un cahier des charges qui traduirait toutes ces ambitions et qui serait une condition d'éligibilité aux aides financières accordées.
Il faut suspendre l'extension de l'aéroport pour l'instant et donc orienter les fonds vers l'amélioration des routes, des navettes inter-îles , des gares maritimes et routières, du reseau de transport public, des plateformes multimodales, de la desserte en eau potable, de la collecte des déchets, du recyclage, de l'amélioration du traitement des eaux usées ( qui aura un impact sur la qualité des eaux de baignade).
Il faut un ré-équilibrage du territoire car il est inadmissible et irrationnel de tout concentrer sur la région P-à-Pitre/Baie Mahault/Abymes.

Oui l’offre hôtelière est suffisante il ne faut pas aller vers le tourisme de masse à l’instar de la République Dominicaine par exemple. En effet il faut garder un tourisme de proximité avec des hébergements locaux à taille humaine.

Je pense qu'il faudrait accroitre le marketing auprès des cibles anglophones, notamment les afro-américains. Voyages de presse, opérations influenceurs, stars américaines hollywoodiennes (acteurs, chanteurs, tournages de films etc..). Cela va dynamiser le développement économique de l'île. Je peux vous accompagner dans ce sens si vous le souhaitez.

Emploi, emploi, emploi, il faut que l’on pense emploi dans tout ce que l’on entreprend pour la Guadeloupe